Ulrich Plate<p>Je suis optimiste que ça ira, son dernier roman « Apeirogon » de 2020 (sur base réelle, un Palestinien et un Israélien ayant chacun perdu une fille dans le conflit, désormais déterminés à œuvrer ensemble pour la réconciliation au Proche-Orient) était monumental et – hormis les quelques sentences pathétiques – très bien écrit, construction fragmenté qu’on a comparé à <a href="https://piaille.fr/tags/WGSebald" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#<span>WGSebald</span></a> en 1001 mini-chapitres, et allusion mathématique des « nombres amicaux » en prime. Il est vrai qu’avec « Twist » <a href="https://piaille.fr/tags/McCann" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#<span>McCann</span></a> a encore traité un sujet en dehors de sa propre sphère d’expériences, mais si le résultat sera aussi remarquable que le prédécesseur, je ne me plaindrai pas trop. 2/3</p>